Réponse courte
Est-ce que le sirop contre la toux fonctionne?
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Est-ce que le sirop contre la toux fonctionne?
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Plusieurs personnes dans le monde, gagnent leur vie en produisant ou en vendant du vin, et il n'y a rien de mal à cela. Voici pour ma part, les vrais trésors que j'ai accumulés tout au long de ma vie grâce au vin.
Les bienfaits physiques
Cela ne sera sans doute jamais prouvé un jour scientifiquement à 100%, mais il y a énormément plus d'études cliniques qui tendent à démontrer que la consommation raisonnable du vin favoriserait le maintien d'une bonne santé, que l'inverse.
Prévention des maladies cardio-vasculaires, neuro-dégénératives, osseuses (dont l'ostéoporose), du diabète, de certains cancers, amélioration des fonctions cognitives (prévention de l'Alzheimer), sont les principaux effets bénéfiques recensés par plus de 953 études cliniques tenues de 2012 à 2013. Une autre preuve que le vin est la plus douce des médecines douces.
Pour consulter un intéressant tableau qui résumeles conclusions de plus de 70 études sur les effets de la consommation raisonnable du vin sur la santé, suivez ce lien.
Il y a deux avantages principaux que j'aimerais vous souligner. Le premier est que le vin rouge, grâce à une molécule nommée resvératrol, aiderait à prévenir l'accumulation du mauvais gras qui, avec le temps et selon notre alimentation, bouchent nos artères, prévenant ainsi certaines complications cardiaques.
Les Français, malgré une alimentation souvent aussi riche en lipides que les Américains, meurent beaucoup moins de maladies cardio-vasculaires que ces derniers; c'est ce que l'on a appelé le "french paradox". Les polyphénols qui sont des molécules anti-oxydantes contenus dans le vin en seraient l'explication. L'utilisation en cuisine de l'huile d'olive ainsi que l'hygiène de vie pourraient aussi y jouer un certain rôle.
Le second avantage physique sur lequel j'aimerais attirer votre attention, est que le vin, selon l'analyse des dites études, semble des plus efficace pour prévenir la dépression. Avec à peine deux petits verres de vin, on sent immédiatement diminuer le poids du stress sur nos épaules. Pour plusieurs, le vin est le meilleur antidépresseur naturel qui existerait. Le mot "naturel" est utilisé ici en opposition à "chimique".
À tel point, que l'on a commencé à instaurer des bars à vin dans certains hôpitaux de France. Au lieu de deux antidépresseurs, un bon verre de vin rouge vous remonte le moral rapidement et ce, sans forte dépendance. Le lobby des compagnies pharmaceutiques étant très influent au Québec, il y a peu de chances cependant que cette mesure soit appliquée ici. Trop efficace et trop peu dispendieux, sans doute.
Statistiques: Alors que la province de Québec ne représente qu'à peine 23% de la population totale du Canada, la quantité d'antidépresseurs prescrites aux Québécois(e)s en 2010 représentaient plus du tiers des prescriptions canadiennes. Un Québécois sur sept est sorti du bureau de son médecin avec une prescription d'antidépresseur.
Je ne dis pas que lorsque la dépression est déjà fortement installée que les antidépresseurs sont inutiles. Seulement qu'il y a peut être un peu trop de personnes légèrement stressées qui s'en font prescrire un peu trop facilement, alors qu'un peu de vin donnerait d'aussi bons résultats. Prévenir ne vaut-il pas mieux que guérir?
Et aux intégristes de l'alcool qui donneront comme argument que le vin n'a jamais rien réglé, je leur répondrai que le lait non plus!
Ai-je besoin de vous dire, qu'après avoir consommé régulièrement du vin pendant maintenant plusieurs décennies, je jouis toujours d'une excellente santé?
Les bienfaits immatériels
Le célèbre œnologue français Émile Peynaud, père de l'œnologie moderne, qui a écrit que "le bon vin nous fait prendre conscience du beau, du bon, voire du sublime et que la pleine conscience du beau et du bon embellit l'instant présent" (Le vin et les jours).
Indéniablement le vin nous fait voir ce que nos yeux ne voient plus. Et n'oublions pas qu'en plus du délicieux plaisir par lui-même qu'il nous procure, il permet de magnifier les saveurs de la nourriture que nous mangeons et d'agrémenter davantage nos repas.
Au fil du temps, et à force de m'intéresser sérieusement à lui, le vin a aiguisé mon sens de la curiosité. Il m'a habitué à ne rien prendre pour acquis, à garder l'esprit ouvert, à ne présumer de rien, et à évaluer les choses pour ce qu'elles sont, sans préjugés. Il est préférable de ne pas aborder un nouveau vin en pensant que celui-ci sera certainement bon pour telle raison, ou ne pourra pas l'être pour telle autre. Indépendamment du prix, du producteur, de la région, la vérité est dans le verre.
Afin de pouvoir évaluer un vin, il faut évidemment un minimum de connaissances de base, une bonne technique, mais surtout un minimum d'attention, pour ne pas dire de concentration. Devoir évaluer les vins que je déguste a développé ma capacité d'analyse ainsi que la confiance en mon jugement.
Je m'en voudrais de ne pas souligner que les aptitudes que je viens tout juste de mentionner m'ont été aussi fort utiles dans l'exercice de mes affaires personnelles, me permettant ainsi de bien gagner ma vie. Le vin, indirectement, m'a ainsi aidé par les qualités qu'il m'a astreint à acquérir, à atteindre un certain bien-être et confort. Et que dire des rencontres fort instructives et agréables que le vin m'a permis de faire. Avec des vignerons, des producteurs des représentants commerciaux, mais aussi avec des amateurs, passionnés de vin, tout comme moi. Qu'ils soient espagnols, grecs, chiliens ou allemands, nous arrivons toujours à nous comprendre, car nous parlons la même langue, celle du vin. Oubliez l'espéranto comme langue universelle et mettez-vous plutôt au vino!
Et j'en arrive à l'essentiel, au côté humain du vin, celui qui nous fait vibrer et vivre de belles émotions.
http://www.vinetsociete.fr/static/INFOG_VIN_SANTE.jpg
de plus, en plus des nombreuses vertus du vin rouge sur la santé (protection contre les maladies cardiovasculaires, effet anticancer grâce à sa teneur en antioxydants…), voici que cet alcool protégerait des caries et autres bactéries présentes dans la bouche.
«Maîtrise Santé»
MOT D'INTRODUCTION : POURQUOI AVOIR CRÉÉ CE BLOG
Depuis trois ans, je me suis abonné à des sites internet d,expertise en santé. Ils sont soucieux de bien informer ceux et celles qui souffrent physiquement de différents maux, qui y vivent des problématiques d'équilibre ou qui désirent investir dans la prévention pour se maintenant en bonne santé.
Même en retraite, je suis et je serai toujours un «travailleur social dans l'âme». C'est pourquoi je veux aider mes proches qui me témoignent leurs difficultés particulières de vivre en bonne santé et/ou de réduire grandement leur souffrance. J'ai donc décidé de m'investir auprès d'eux à travers ce blog.
Mon approche est :
s'entraider à tirer un trait sur des douleurs qui gâchent notre vie vie à différents niveaux;
axer davantage nos informations sur les traitements naturelles d'autant plus qu'il y a souvent des risques avec les traitements conventionnels.
Quant au fonctionnement, le blog est accessible qu'à mes proches avec leur entourage immédiat ainsi qu'à nos amis. Je vais contrôler tout le contenu car je veux que la lecture demeure positive et objective. Je tiens également à ce que vous vous appropriez de ce blog en me transmettant vos témoignages et de nous faire découvrir d'autres pistes de solutions pour soulager la douleur ou pour la prévenir.
LE CORPS EST UNE MACHINE MERVEILLEUSE POUR SES CAPACITÉS D'AUTO-GUÉRISON
Les pratiques de médecine du corps et de l'esprit reposent sur la croyance selon laquelle l'esprit peut affecter le corps. Le lien entre l'esprit et le corps et la façon dont la santé de l'un affecte la santé de l'autre sont bien connus.
Pour que le corps devienne une machine merveilleuse pour sa capacité phénoménale de se réparer et de retrouver sa vitalité, il faut lui donner des outils pour le faire, tels: bien s'alimenter, prendre du temps pour soi, avoir des occupations et des relations nourrissantes, etc.
Les thérapies corps-esprit englobent diverses techniques pour influer sur les changements du corps physique, soit des techniques de relaxation, la méditation, l'imagerie guidée, le biofeedback et l'hypnose, etc. Ces techniques sont très bonnes, surtout dans des conditions face à la douleur. Elles permettent au patient d'apprendre à contrôler l'esprit et de l'orienter de telle manière qu'il contrôle la douleur.
Bien des approches mettent l'accent sur le pouvoir qu'ont les gens de se guérir eux-mêmes, à prendre elles-mêmes le contrôle et soulager la douleur tels :
- hypnose
- imagerie (visualisation)
- méditation
- relaxation
- yoga
Bonnes réflexion.
Claude
Se plaignant de maux de tête et de problèmes de digestion, un neurologue et un nutritionniste recommandent à Sarah Smith de boire beaucoup plus d’eau. Elle décide donc de boire 3 litres d’eau par jour, le résultat est spectaculaire après un mois et elle en témoigne dans une tribune pour le journal anglais Dailymail. Au bout de la première semaine, Sarah Smith décrit se sentir "moins molle" et plus dynamique. A la deuxième semaine, la jeune femme a perdu un kilos et ses maux de tête ont commencé à disparaître. A la troisième semaine, la métamorphose se voit aussi au niveau de sa peau qui s’est raffermie. "Je me sens plus en forme, en meilleure santé et mon homme et mes amis disent que j’ai l’air 10 ans plus jeune", se réjouit l’intéressée.
Boire de l’eau pour une meilleure peau
Les bienfaits de l’eau sur l’organisme sont nombreux : meilleure hydratation et oxygénation des tissus, réduction de la cellulite et de la rétention d’eau, l’eau permet surtout d’éliminer les toxines dans le corps. De plus, boire un grand verre d’eau avant les repas permet de se rassasier plus vite. Le seul bémol de l’histoire est qu’il faut avoir des toilettes à proximité tout au long de la journée.
Se plaignant de maux de tête et de problèmes de digestion, un neurologue et un nutritionniste recommandent à Sarah Smith de boire beaucoup plus d’eau. Elle décide donc de boire 3 litres d’eau par jour, le résultat est spectaculaire après un mois et elle en témoigne dans une tribune pour le journal anglais Dailymail. Au bout de la première semaine, Sarah Smith décrit se sentir "moins molle" et plus dynamique. A la deuxième semaine, la jeune femme a perdu un kilos et ses maux de tête ont commencé à disparaître. A la troisième semaine, la métamorphose se voit aussi au niveau de sa peau qui s’est raffermie. "Je me sens plus en forme, en meilleure santé et mon homme et mes amis disent que j’ai l’air 10 ans plus jeune", se réjouit l’intéressée.
Boire de l’eau pour une meilleure peau
Les bienfaits de l’eau sur l’organisme sont nombreux : meilleure hydratation et oxygénation des tissus, réduction de la cellulite et de la rétention d’eau, l’eau permet surtout d’éliminer les toxines dans le corps. De plus, boire un grand verre d’eau avant les repas permet de se rassasier plus vite. Le seul bémol de l’histoire est qu’il faut avoir des toilettes à proximité tout au long de la journée.
DE LA SOUFFRANCE AU MIEUX-ÊTRE
La douleur tant psychologique que physiologique de la douleur chronique, mal de dos, mal de tête, migraines récurrente et douleur persistante troublent la qualité de notre sommeil et par conséquent notre qualité de vie.
La douleur chronique est notamment causée par des problèmes de santé très répandus et en apparence anodins, comme une raideur au dos, une migraine, l'arthrite, une chirurgie, etc. Ce type de douleur se vit trop fréquemment dans l'isolement, presque en secret.
Pour garder l'espoir d'une vie normale et agréable quand on souffre,il peut être aidant de connaître les différentes composantes de la douleur et ainsi, mieux se faire traiter et la gérer. Ces composantes incluent l'intensité, la fréquence, la durée, la localisation et les causes.
Oui, nous sommes capables de relever un défi car il existe de nouvelles approches thérapeutiques et qu'une participation active de la personne vivant la problématique est plus efficaces.Pour gérer la douleur, il importe de :
Mieux s'alimenter
Comprendre la douleur
Ignorer la douleur
Participer au traitement
S'entourer
Diviser pour mieux régner
Prendre soin de sa vie sexuelle
dormir mieux
Ces recommandations sont décrites dans un guide de santé fascinant sur le sommeil et ses troubles, signé par une chercheuse québécoise de renommée mondiale. Diane B. Boivin1. En neuf chapitres, elle fait comprendre au lecteur qu'un sommeil de qualité est essentiel pour une bonne santé générale. Elle explique de façon claire et accessible les différents phénomènes associés au sommeil: pourquoi on dort, les besoins de sommeil de chacun, les liens entre insomnie, stress et obésité, les problèmes liés à l'horloge biologique, les troubles d’adaptation aux horaires de travail rotatif et de nuit, le décalage horaire, la gestion des risques liés à la fatigue, etc.
Diviser pour mieux régner
La douleur chronique peut se manifester à plusieurs endroits. Il n'est pas banal et encore moins inutile de ne s'attaquer qu'à certains d'entre eux, même si ceux-ci ne sont pas les plus problématiques.
Mieux gérer la douleur permet de réintégrer ses activités plus facilement. Il ne faut pas se résigner face à la douleur, mais bien d'améliorer sa qualité de vie et de réintégrer des activités plaisantes et valorisantes.Si non, il y a souvent une certaine forme d'isolement social.
Mieux s'alimenter
La perte d'appétit est fréquente chez les personnes souffrant de douleur chronique. L'apport alimentaire est parfois inadéquat en terme de qualité et de quantité.
Ignorer la douleur
Cette stratégie peut être utilisée comme une technique de distraction, et ce, durant une période de temps bien définie, histoire de mettre l'emphase sur des éléments positifs de sa vie. Il ne s'agit évidemment pas d'occulter la douleur ni de la nier. N'hésitez à évaluer les effets de cette technique en vous inspirant du point précédent, soit de comprendre la douleur.
Bougez en 3 déclinaisons
Dans le jargon médical, une douleur est qualifiée de chronique lorsqu'elle dure plus de trois mois. Il s'agit d'un délai relativement court considérant la complexité des mécanismes de guérison, notamment celui de la peau qui nécessite plusieurs semaines à cicatriser. Plutôt que de débattre sur le concept de chronicité, concentrons-nous sur ce qui peut être fait pendant cette période de trois mois. Une des premières choses consiste à bouger, soit à reprendre le mouvement le plus tôt possible, progressivement, et surtout avec l'accord de votre médecin. Pour chacune des trois déclinaisons, dosez l'effort en tenant compte de vos capacités et de votre niveau de fatigue.
Dormir mieux
Les troubles du sommeil perturbent souvent la vie des personnes aux prises avec d'une douleur chronique. L'amélioration de cette situation peut se faire en considérant le temps nécessaire pour s'endormir, le nombre de périodes d'éveil nocturne et aussi, la qualité du repos ressenti au réveil. Consultez le livre Le sommeil et vous pour en apprendre davantage.
Prendre soin de sa vie sexuelle
Plusieurs études démontrent qu'une majorité de personnes souffrant de douleur chronique éprouvent des difficultés d'ordre sexuel. N'hésitez pas à en parler avec votre partenaire ou à un professionnel de la santé. Plusieurs actions peuvent être entreprises, notamment de modifier l'horaire de la médication et d'augmenter la souplesse de certaines articulations ou l'endurance de certains muscles.
Reprenez vos activités rapidement en commençant par celles de tous les jours comme vous habiller et faire les travaux ménagers. Considérez ensuite des activités plus exigeantes comme les déplacements, le travail, les sports, les activités sociales, etc. Notez qu'une augmentation graduelle d'activité est généralement associée à une amélioration des douleurs musculo-squelettiques.
Faites de l'exercice aérobique; cela peut aussi diminuer l'intensité de la douleur et favoriser la santé physique et psychologique. Visez une fréquence de trois fois par semaine, ainsi qu'une durée approximative de dix à vingt minutes. L'exercice peut prendre la forme de la marche, la course à pied, le tapis roulant, le vélo, les exercices au sol, etc. Voici un lien pour mieux comprendre le principe de l'aérobie.
Faites des exercices comme le yoga, le Pilates et ceux pratiqués en piscine. Il est intéressant d'utiliser un milieu aquatique pour diminuer le poids de votre corps sur vos articulations, mais aussi comme résistance afin d'accroître la force musculaire. Pour avoir d'autres idées d'exercices, consultez l'un de mes précédents articles.
Évitez la kinésiophobie
La kinésiophobie est la peur de bouger une ou plusieurs articulations alors que les capacités de la personne sont adéquates La peur est parfois bonne conseillère quand elle agit comme un système d'alarme. Par exemple, il est tout à fait normal, si votre équilibre est insuffisant, de craindre une chute lorsque vous marchez.. Pour la contrer, retournez aux activités physiques progressivement et le plus tôt possible. Identifiez d'abord les mouvements précis qui vous font peur, puis effectuez-les dans un environnement sécurisant, à une vitesse moindre et dans une position confortable. Afin d'obtenir d'autres conseils, reportez-vous aux trois déclinaisons données précédemment.
Consultez
Si votre douleur est secondaire à une maladie chronique ou dégénérative, il est probable que vous bénéficiez déjà d'un suivi auprès d'une clinique de la douleur ou de toute autre équipe multidisciplinaire. Or, trop de personnes souffrant de douleur chronique ne sont pas traitées et, puisque la douleur se combat plus facilement avec de l'aide professionnelle, il est impératif que ces personnes soient encouragées à consulter. Une visite chez son médecin de famille est la première action à poser (encore faut-il en avoir un). Des démarches peuvent aussi être entreprises directement auprès d'un pharmacien, d'un psychologue, d'une nutritionniste, d'un acupuncteur, d'un ergothérapeute, d'un physiothérapeute, d'un chiropraticien ou d'un kinésiologue.
Souvenez-vous que la combinaison de plusieurs approches est souvent plus efficace qu'une seule, comme une intervention médecine/physiothérapie/activité physique.
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1 Diane B. Boivin a complété sa médecine à l’Université Laval en 1985 et mène ses recherches à titre d’experte sur le sommeil et les rythmes circadiens depuis 1986. Elle a obtenu son doctorat en sciences neurologiques à l’Université de Montréal en 1993. De 1992 à 1997, elle a complété un stage postdoctoral de recherche clinique en chronobiologie humaine à Boston au Brigham and Women’s Hospital, affilié au Harvard Medical School.